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3.31/5

Whispering Corridors

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les avis de Cinemasie

5 critiques: 4.1/5

vos avis

19 critiques: 3.12/5

visiteurnote
Sauzer 2
Fred30 2
Dooliblog 1.5
koalaurent 2.5
Hots@uce 4
ArzaK 3.5
Izzy 4
Scaar Alexander Trox 4
White Snake 4.5
Secret Tears 3.5
Simon VD 2.5
antigone 3.75
Skyhigh 5
Pikul 2.5
Bama Dillert 3
Epikt 1.75
cityhunter 2.5
Inoran 3.25
Black_pantha 3.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Un petit film d'horreur qui se laisse regarder, tranquillement.

Il y a quelques bonnes idées, mais le reste est bien trop ordinaire (que ce soit au niveau du style, de l'ambiance, de l'histoire). Du coup, "Whispering Corridors" ne marquera pas beaucoup les esprit. Aussitôt vu, aussitôt oublié... A noter également qu'il est le premier volet d'une trilogie, suivi de "Memento Mori" puis de "Whishing Stairs".

16 janvier 2005
par koalaurent


Peu original mais réussi

L'ambiance est au rendez-vous. Ne vous attendez pas non plus à avoir super peur. C'est une histoire de fantôme japonais assez banale pour peu qu'on connaisse un peu le genre. Mais la réalisation et les actrices font qu'on est au-dessus de la qualité moyenne du genre. A voir, donc!

05 avril 2004
par ArzaK


Froid et envoûtant, un film d'ambiance au dessus de la moyenne manquant toutefois de l'âme caractérisant "Memento Mori"

"Memento Mori". Un fantasme crépusculaire adolescent sublimement mis en image et en musique, une ode à la liberté jeune dans sa quintessence, un chef d'oeuvre technique et thématique doublé d'une profonde et réussie mise en apnée artistique. C'est dire avec quelle appréhension n'ai-je pas enfin décidé de voir ce célèbre "1st level", parassait-il culte... Au final, voilà ce que j'en pense: "Whispering Corridors" n'a ni le génie expérimental et pictural du cadre, ni l'ambition psychologique, ni la bande-son culte de sa culte suite. Il est donc évident que ma déception s'est faite ressentir, étant passé d'une mise en image des tourments intérieurs de gamines à un vulgaire ghost-slasher. Mais attention! "Whispering Corridors", comme je l'ai dit, ne s'est jamais prétendu autre... mises donc de côté ces considérations somme toute pesantes, passons à la critique de ce qu'il est VRAIMENT: un film d'angoisse pur et dur, thriller (fantastique) dans le sens littéral du terme. Et à ce niveau, c'est bien simple: c'est un putain de bon film, foutant bien les jetons à la manière des Nakata, avant l'heure. C'est précisement cela qui caractérise en fait la vrai puissante qualité de cette oeuvre: l’ambiance ultime de terreur sourde, sentie à travers les murs des ces glaciaux corridors et les visages envoûtants de ces déesses adolescentes... La réalisation y est pour quelque chose: le poto a quand même fait "Secret Tears" (hé!) est, on s'en serait douté, à l'origine de cette ambiance, ayant à notre plus grand bonheur pigé qu'il faut dans ce genre de film faire fine équipe avec la photographie. Celle-ci, à ce sujet, est ce qu'on lui demande d'être: caféïnée, figée, jouant en monochrome, et avec les ombres salutaires caractéristiques de ce genre de décors idéaux pour un slasher, fantastique ou non. Cette réa donc, jouant malgré tout un peu trop sur les ralentis à mon goût, bénéficie d'un montage sans chichis mais épais, donnant leur mot à dire aux cadres chiadés, faits pour faire flipper. Je l'affirme, techniquement, "Whispering Corridors" est très, très réussi, et les quelques scènes de meurtres/cadavres ont leur effet, traînant en écho tout le long du film sur la pelloche morbide. Donc merci (entre autre), Park Ki-Hyung. Le casting est également à remercier à la fin du générique :): toutes les jeunes actrices sont justes dans leurs rôles, l'héroïne prof passant correctement d'une époque à l'autre, l'héroïne étudiante utilisant son charmant physique à bon escient pour jouer la potiche douée de cerveau, la cinglée bêcheuse jouant bien du regard psychotique pour installer le malaise (quel effet spécial, right, Wes Craven & co?), et le bouledogue de prof donnant talentueusement envie de le voir crever dans d'atroces souffrances; au final, seule la fifille timide et moche est un peu trop grillée d'avance, mais ça c'est plus la faute au scénario. Car voilà où le bas blesse (un peu): dans le scénario. Non, il n'a rien de bien mauvais. Oui, il est parcemé de bonnes idées flippantes, de mises en situations intéressantes, et son plot de base, ayant quand même servi à celui de "Memento Mori", est un trésor de développements dramatiques. Mais c'est dans son développement quelquefois peu subtil que ça déconne: en effet, des personnages un poil caricaturaux (le prof bouledogue est bien trop haissable - encore un exemple de prof taré dans le ciné coréen, ils font une fixette à ce sujet ou quoi?, la fifille moche a bien trop quelque chose à cacher, et l'héroïne artiste et généreuse est bien trop généreuse et artiste), ça baisse le niveau d'un thriller à la thématique aussi délicate (l'emploi des icônes ne marche pas comme dans sa suite); et le dénouement du film est bien, bien trop téléphoné. Sans oublier la pirouette finale, peu inspirée. Je n'en dis pas plus. Pour finir, histoire de ne pas pouvoir se rabattre TOTALEMENT sur l'emballage, si la bande-son est bien foutue, la musique originale, elle, n'a absolument rien de transcendant. C'est classique, plan-plan, parfois cliché, et ça ne porte en rien les climax du scénario malgré la réa inspirée. Mauvais point à ce sujet, donc. Voilà... au final, un bon film d'angoisse donc, cela dit éternellement destiné à demeurer dans l'ombre de son illustre suite contrairement à l'habitude...

18 septembre 2003
par Scaar Alexander Trox


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